lundi 9 juillet 2007

Daniel Bélanger avait tort.

Il avait tout faux: les insomniaques ne s'amusent pas...

Les nuits blanches inexpliquées et inexplicables. Tourner d'un côté et de l'autre pendant que la douce moitié dort paisiblement. Ne pas trouver la position qui nous apportera le sommeil tant convoité. Le bain chaud, l'huile essentielle de lavande, le lait chaud au miel, rien n'y fait. On en vient à désirer que quelqu'un nous assome. Question de trouver un peu de repos.

Les décibels sont multipliés par mille. Poilue adorable qui change de position dans son coussin, papa aquatique qui profite de son repos, le réfrigérateur qui fait son travail de réfrigérateur, le climatiseur qui démarre...

La seule consolation: futur bébé roux qui me fait quelques caresses intérieures. Qui me confirment que je ne suis pas seule.

La pluie se met à tomber, le jour se lève lentement, je finis par m'endormir. Une heure plus tard, poilue adorable veut déjeuner, papa aquatique se réveille et je saute dans la douche... C'est une autre journée qui commence. (Vivement ce soir pour me coucher tôt!)

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